Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés.
Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Source : Le Figaro
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
Non content d’avoir tué près d’une cinquantaine de chrétiens au Nigéria à l’occasion de Noël, le Boko Haram, une « secte » d’islamistes radicaux qui impose sa loi (la charia) dans une bonne partie du Nigéria, vient de fixer un ultimatum aux chrétiens du Nord Nigéria, leur donnant ainsi trois jours pour fuir ou être massacrés. Lundi, dans la matinée, des militaires appuyés par des blindés patrouillaient dans les rues de Maiduguri, capitale de l’État de Borno et berceau de Boko Haram. «Nous redoutons ce qui pourrait arriver», a confié à Reuters un habitant de la ville Buda Guduf. Non sans raison. L’armée nigériane est connue pour son manque de discernement, ses opérations de maintien de l’ordre faisant régulièrement plus de morts que les émeutes elles-mêmes.
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